Les Chevaux de Diomède (1897) |
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1° Edition originale : Les Chevaux de Diomède, roman, est un in-18, publié par les Editions du Mercure de France, Paris, 1897. Epigraphe : Veritas in dicto non in re consistit. Thomas Hobbes. 2° Autres éditions : Frontispice et fleuron de la couverture gravés par Henry Chapront, « Collection des chefs-d'œuvre », La Connaissance, 9, galerie de la Madeleine, Paris, 1921 (Il a été tiré : 10 exemplaires sur Chine ; 20 exemplaires sur Japon impérial ; ces 30 exemplaires comprennent un état du frontispice avant la lettre 400 exemplaires sur vergé de Hollande van Gelder Zonen au filigrane La Connaissance ; 560 exemplaires sur vergé teinté de pur fil Lafuma au filigrane La Connaissance ; 10 exemplaires hors commerce ont été tirés pour les éditeurs.) The Horses of Diomedes, traduit par C. Satoris, New Freewoman, Londres, août-décembre 1913 & J.-W. Luce, Boston, 1920. 3° Envois : 1. Vu dans le catalogue Coulet-Faure, n° 63, s. d. [Jean Castiglia] : 2. Vu dans le catalogue Coulet-Faure, n° 63, s. d. [Jean Castiglia] : 167 LES CHEVAUX DE DIOMEDE. Paris, Mercure de France, 1897 ; in-12, demi-chagrin havane, dos à cinq nerfs, non rogné, couvertures conservées. (Reliure de l'époque)...................................... 40 NF. EDITION ORIGINALE. Envoi : A Albert Samain, 3. Vu dans le catalogue de Pierre Saunier, fin 2003 :212 GOURMONT (Remy de). Les Chevaux de Diomède. Roman. Paris, Société du Mercure de France, 1897 ; in-12, broché. 254 pp. 200 Edition originale. Envoi a. s. : à Hugues Rebell, très cordialement, Remy de Gourmont. |
1er janvier 1911. Le Fantôme, je ne l'ai pas relu, je ne l'ai pas lu, je ne le connais pas. C'est vous qui m'avez fait lire Diomède, que j'avais presque oublié (Lettres intimes à l'Amazone). |
« Les Chevaux de Diomède » ? curieux mais diffus ; là surtout chaque phrase est précieuse, chaque chapitre savoureux, et l'ensemble dégringole (H. Mazel). |
comme dit Remy de Gourmont, [Jules Laforgue,] « ce serait aujourd'hui notre adoré frère aimé ». Remy de Gourmont qui reprend dans Les Chevaux de Diomède, plusieurs fois, certaines idées obsédantes de Laforgue. Quelle délicatesse extraordinaire de style. Et ce premier chapitre, sur le premier sujet-femme, Pascase, je crois, « l'odeur idéale des roses qu'on ne cueillera jamais » ! Exquis (Alain-Fournier à Jacques Rivière, 21 avril 1906). Je veux bien croire que Les Chevaux de Diomède c'est exquis. Mais j'ai beau faire, je ne peux m'imaginer R. de Gourmont comme un écrivain. Je le vois trop averti de toutes choses, trop délicat, trop érudit aussi (Alain-Fournier à Jacques Rivière, fin avril 1906). |
contes pleins de verdure de soleil, de femmes nues et de philosophie : [...] apologie de l'amour voluptueux, souriant et léger (P. de Querlon). |
Ch. Arnaud, « Les Chevaux de Diomède », Polybiblion, t. LXXX, 1897
Rachilde, « Les Chevaux de Diomède », Mercure de France, juin 1897
Jacques Dusonchet, « Les Livres : Les Chevaux de Diomède, par Remy de Gourmont », La Critique, 5 décembre 1897
Henri Ghéon, « Les Chevaux de Diomède », L'Ermitage, juillet 1897
Jean de Gourmont, « Littérature », Mercure de France,1er mars 1922, p. 451
Alexia Kalantzis, Le monologue intérieur dans l'œuvre romanesque de Remy de Gourmont : Sixtine, Les Chevaux de Diomède, Un cœur virginal, Université Paris-IV Sorbonne, juin 2002
L. Zuccoli, « Les Chevaux de Diomède », Marzocco, 13 juin 1897
I. Les roses.
II. Les peupliers. III. La ceinture. IV. Le jet d'eau. V. Le bourdon. VI. Le souci. VII. L'abeille. |
VIII. Les landes.
IX. Le cygne. X. Les mains. XI. La barque. XII. L'odeur. XIII. L'agneau. XIV. Les marronniers. |
XV. Le songe.
XVI. L'éventail. XVII. Le laurier. XVIII. Le jongleur. XIX. Les feuilles. XX. Les nuées. XXI. Les pensées. |
manuscrit : n° 104, p. 110 et 111