Ambroise Vollard (1868-1939) et le Mercure |
Une fois installé, je promenai les yeux autour de moi et je remarquai sur une table un certain nombre de numéros de revues que je reconnus à leur couverture violette. Mais, dis-je, m'adressant au père Fradin, c'est le Mercure de France ! Qui est-ce qui lit ça ici ? Eh bien ! moi, monsieur... Et pourquoi lisez-vous ça ? C'est monsieur, pour ma culture. (Souvenirs d'un marchand de tableaux, Albin Michel, 1959 [1937], p. 363 ; voir aussi p.299 et p. 401) |