Notice

1° Edition originale :

Petits crayons, Les Editions G. Crès & Cie, 21, rue Hautefeuille, Paris, 1921. « Le manuscrit de ces Petits Crayons nous fut remis par Remy de Gourmont, quelques mois avant la guerre, quelques mois avant sa mort. Plusieurs de ces petits billets du maître évoquent des faits déjà lointains et déjà évanouis, mais la philosophie dont ils sont enveloppés demeure. Nous publions donc aujourd'hui, tel qu'il le composa, ce volume : Petits Crayons, de Remy de Gourmont. »

Recensement des exemplaires (« Le présent ouvrage a été tiré à onze cents exemplaires (dont cent hors commerce) sur vélin pur fil Lafuma, numérotés de 1 à 1000 et de 1001 à 1100. ») : n° 687 (50 Coutances)

Texte

Les textes entoilés sont ceux de l'édition originale (exemplaire n° 687). Le numéro de la page est indiqué entre crochets. Il est possible de lire les textes en continu.

TABLE DES MATIERES

Le songe brisé Chevaux et femmes L'âme du bibliophile
L'esclave Le chat blessé La chose culinaire
La robe La chasse Sur deux œuvres d'art
L'évadé L'Automne Statues de Paris
Le téléphone En fumée La beauté de Paris
La révolution La beauté Villes d'art
La mort La cité La Seine
Au pôle Une cité A la voile
La vie fluide Les cloches Cartes postales
Les musées et la vie La cathédrale Le ciel bleu
Les eugénistes Déplacements L'automne
L'avenir des chevaux Le bout du monde Le soir, en cette saison
La nourriture Le dîner persan La rose soufre
Méthode funéraire La question de l'âge La touffe de violettes
Les étoiles Le lendemain Sappho la poétesse
Stèles La vertu Le tabac
Le sexe faible Amour et mariage Logique de la mode
Autour d'une lettre Chez l'oculiste Le bahaïsme
Retours Le musée Rodin Lui et Marie-Louise
Sur les voyages Bal paré L'an nouveau
Un jardin Philosophie Pour s'en aller !
Paysages  Le bruit
*

Les derniers textes (de « Un bal paré » à « Pour s'en aller ! ») ont été précédemment recueillis dans Je sors d'un bal paré.

« Paysages » sert de préface à Croquetons du Cotentin, par Bernard Carbonnel


Echos

Jean de Gourmont, « Littérature », Mercure de France,1er mars 1922, p. 451