Ces pages, je les dédie à ceux qui ont vu et qui m'ont vu : à la mémoire d'Alfred Vallette, de Davrey, d'Henri Albert, de Louis Dumur, de Georges Fourest, de Rémy et de Jean de Gourmont ; de Vincent d'Indy, de Claude Debussy, de Pierre de Bréville, de Louis Barthou.

Je les dédie à Rachilde, sans plus, car nul adjectif, nul adverbe, n'ajouterait à la grandeur de son nom.

Je les dédie à Curnonsky, au souvenir de P.-J. Toulet ; à Jacques Dyssord, à Henri de Modailan, à Pierre Varenne, à Pierre Darius, témoins affectueux et dévoués des derniers jours de Willy (Willy, Colette et moi, Editions Charles Frémanger, 1954, p. 8).

A consulter :

Colette vue par Remy de Gourmont